Soutenir les paysans ?
Michaël METZ, ancien paysans devenu chef d'entreprise média, parle avec le coeur de son désir d'action et de soutien au monde paysan, après des années de production et d'actions dans l'ombre.
Michaël METZ
7/17/20255 min read


Aujourd’hui, ici et maintenant, en 2025, même au niveau local, les clients des paysans, qu’on appelle aussi des “consom’acteurs” ou des “amapiens”, qui sont simplement parfois des consommateurs, passent par internet pour l’essentiel leur vie quotidienne trépidante et trop rapide pour elles et eux. Y compris pour dénicher des bons plans, trouver le bon artisan, gagner du temps, manger sain, etc. Beaucoup des clientes et clients que j’ai eu en tant que paysan vivent loin de leur travail, font le pendulaire tous les jours entre leur appartement en HLM ou leur maison dans un quartier résidentiel et la ville et ses transports en commun. Et elles et ils n’ont plus le temps de vivre.
Les paysans qui veulent vendre localement, ou bien qui veulent trouver de nouveaux débouchés, ont besoin de passer par Internet. Les anciens comme les néo-paysans ne sont pas tous sensibilisés et n’ont pas tous l’éducation ou le niveau de connaissance pour faire et mettre en oeuvre une communication numérique, de la publicité, du marketing, et des circuits de ventes qui passent par Internet. Cagette.net et ses concurrents ne suffisent pas pour vendre en ligne. Il y a également besoin de faire connaitre, et pour faire connaitre il y a besoin de savoir ce qu’on veut présenter et comment on veut le présenter en tant que producteur/transformateur.
Tous les paysans n’ont pas le temps long nécessaire pour attendre d’arriver à l’équilibre sur le plan économique, et être rentable. Tous les paysans n’ont pas de réserves financières personnelles, ou de trésorerie disponible au sein de leur entreprise agricole, afin de tenir 2, 3 ou 5 ans, afin d’atteindre le point de bascule économique qui leur permettra enfin de pouvoir se rémunérer dignement, à la hauteur des risques et des efforts consentis afin de vivre en harmonie avec leur activité professionnelle, qui va quelques fois bien au-delà d’une simple activité.
C’est là que mes expériences et mon expertise depuis 30 ans entrent en jeu. C’est là que Aromix, et ses agences dans le numérique, le marketing, la publicité, le design audiovisuel, la stratégie, peuvent agir concrètement, afin d’aider et accompagner les agriculteurs qui protègent et régénèrent les sols et les écosystèmes, les paysans bio, les producteurs, les ouvriers de la terre, les artisans du bien manger, et les transformateurs.
On ne peut pas rester au simple stade des besoins et des blocages. J’ai été paysan. Je l’ai vécu. Et puis mon corps a dit “stop”, il a lâché prise, mon dos a tout pris pendant des années et a cassé, et désormais je ne peux plus porter de charges lourdes, je ne peux plus me baisser facilement sans très fortes douleurs et sans un dos qui craque, je ne peux plus m’asseoir ou m’allonger sans douleurs.
Aujourd’hui on a une nécessité essentielle et fondamentale à traduire les besoins des agriculteurs qui ont eux-mêmes :
des oppositions,
besoin de temps,
des limites,
pas les capacités ou les compétences,
en aides et en accompagnements sincères et engagés.
Je veux signer cela par Aromix -le GIE agricole devenu groupe de communication- pour leur rendre service, pour augmenter leur temps disponible aux cultures ou aux récoltes, pour leur donner du temps pour être avec leurs proches ou leur famille, pour cibler correctement les clients auxquels ils veulent s’adresser, pour augmenter leurs volumes de ventes sans y passer 90 heures par semaine.
Depuis ma sortie de “coma intellectuel”, après des années de douleurs en continu, ça fait maintenant des mois que j’y pense tous les jours sans exception, pour trouver la meilleure manière d’aider et de soutenir activement, tout en préservant l’énergie et les ressources de chacun.
Aujourd’hui, ici et maintenant, en 2025, même au niveau local, les clients des paysans, qu’on appelle aussi des “consom’acteurs” ou des “amapiens”, qui sont simplement parfois des consommateurs, passent par internet pour l’essentiel leur vie quotidienne trépidante et trop rapide pour elles et eux. Y compris pour dénicher des bons plans, trouver le bon artisan, gagner du temps, manger sain, etc.
Beaucoup des clientes et clients que j’ai eu en tant que paysan vivent loin de leur travail, font le pendulaire tous les jours entre leur appartement en HLM ou leur maison dans un quartier résidentiel et la ville et ses transports en commun. Et elles et ils n’ont plus le temps de vivre.
Les paysans qui veulent vendre localement, ou bien qui veulent trouver de nouveaux débouchés, ont besoin de passer par Internet. Les anciens comme les néo-paysans ne sont pas tous sensibilisés et n’ont pas tous l’éducation ou le niveau de connaissance pour faire et mettre en oeuvre une communication numérique, de la publicité, du marketing, et des circuits de ventes qui passent par Internet. Cagette.net et ses concurrents ne suffisent pas pour vendre en ligne. Il y a également besoin de faire connaitre, et pour faire connaitre il y a besoin de savoir ce qu’on veut présenter et comment on veut le présenter en tant que producteur/transformateur.
Tous les paysans n’ont pas le temps long nécessaire pour attendre d’arriver à l’équilibre sur le plan économique, et être rentable. Tous les paysans n’ont pas de réserves financières personnelles, ou de trésorerie disponible au sein de leur entreprise agricole, afin de tenir 2, 3 ou 5 ans, afin d’atteindre le point de bascule économique qui leur permettra enfin de pouvoir se rémunérer dignement, à la hauteur des risques et des efforts consentis afin de vivre en harmonie avec leur activité professionnelle, qui va quelques fois bien au-delà d’une simple activité.
C’est là que mes expériences et mon expertise depuis 30 ans entrent en jeu. C’est là que Aromix, et ses agences dans le numérique, le marketing, la publicité, le design audiovisuel, la stratégie, peuvent agir concrètement, afin d’aider et accompagner les agriculteurs qui protègent et régénèrent les sols et les écosystèmes, les paysans bio, les producteurs, les ouvriers de la terre, les artisans du bien manger, et les transformateurs.
On ne peut pas rester au simple stade des besoins et des blocages. J’ai été paysan. Je l’ai vécu. Et puis mon corps a dit “stop”, il a lâché prise, mon dos a tout pris pendant des années et a cassé, et désormais je ne peux plus porter de charges lourdes, je ne peux plus me baisser facilement sans très fortes douleurs et sans un dos qui craque, je ne peux plus m’asseoir ou m’allonger sans douleurs.
Aujourd’hui on a une nécessité essentielle et fondamentale à traduire les besoins des agriculteurs qui ont eux-mêmes :
des oppositions,
besoin de temps,
des limites,
pas les capacités ou les compétences,
en aides et en accompagnements sincères et engagés.
Je veux signer cela par Aromix -le GIE innovation / agricole devenu groupe de communication- pour leur rendre service, pour augmenter leur temps disponible aux cultures ou aux récoltes, pour leur donner du temps pour être avec leurs proches ou leur famille, pour cibler correctement les clients auxquels ils veulent s’adresser, pour augmenter leurs volumes de ventes sans y passer 90 heures par semaine.
Depuis ma sortie de “coma intellectuel”, après des années de douleurs en continu, ça fait maintenant 3 mois que j’y pense tous les jours sans exception, pour trouver la meilleure manière d’aider et de soutenir activement, tout en préservant l’énergie et les ressources de chacun.
Il y a besoin de transformer cette énergie en actions concrètes, en produits d'intérêt général, en "actif" comme disent mes collègues financiers avec qui je partage les logiques sans partager les valeurs.
